jeudi 31 mai 2012

Wi-GO : un chariot de supermarché pour les personnes en fauteuil roulant

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/70113.htm
Une équipe d'étudiants du Master de "Génie Informatique" de l'Université de Beira Interior (UBI) a conçu un chariot de supermarché, baptisé "wi-Go", qui suit son "propriétaire". Partant du constat qu'il n'existe à ce jour aucun mécanisme permettant aux personnes en fauteuil roulant de faire leurs courses de façon autonome, les étudiants ont mis au point ce chariot équipé d'un oeil numérique Kinect, la caméra intelligente de Microsoft. Cette technologie est capable de reconnaître l'image de l'utilisateur en fauteuil roulant pour le suivre grâce à un moteur lui conférant une autonomie complète de mouvements.



wi-GO Project Crédits : Luis Carlos Inácio de Matos

Luis de Matos, Pedro Querido, Michael Adaixo et Ana Figueira, soutenus par leur professeur Simão Melo e Sousa ne perdent pas de vue leur stratégie initiale qui consiste à vendre leur chariot à des chaînes de distribution pour une mise à disposition dans leurs réseaux de grandes surfaces, à proximité des chariots conventionnels.

Le projet a gagné le concours d'idées Imagine Cup Portugal 2012 promu par Microsoft, lui donnant ainsi accès à la finale mondiale de la compétition qui aura lieu à Sydney du 6 au 10 juillet 2012. Outre cette participation à la finale, la première place de l'étape portugaise au concours de Microsoft offre à l'équipe un prix de 3000 euros attribué par la Fondation EDP, pour le développement du projet et d'autres produits informatiques.


Pour en savoir plus, contacts :  Luis Carlos Inácio de Matos, UBI - email : luiscimatos@gmail.com
   
Code brève  ADIT : 70113

Sources :  - "Um carrinho de compras que segue os utilizadores de cadeia de rodas" - Público - 17/05/2012 - Agência Lusa - http://redirectix.bulletins-electroniques.com/MygWl
- "Carrinho de compras português ajuda deficientes" - Diário de Noticias - 17/05/2012 - Agência Lusa - http://redirectix.bulletins-electroniques.com/5thkm

Rédacteurs :  Sarah DIAS - sarah.dias@diplomatie.gouv.fr ou coop.scientifique@ifp-lisboa.com           

Origine :  BE Portugal numéro 54 (29/05/2012) - Ambassade de France au Portugal / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/70113.htm

mercredi 30 mai 2012

Téléphones mobiles : un marché européen reboosté par les smartphones Android

A lire sur:  http://www.itrmobiles.com/articles/132821/telephones-mobiles-marche-europeen-rebooste-smartphones-android.html?key=862d53eea2c1d2fe

Le marché européen de la téléphonie mobile est reparti à la hausse au premier trimestre 2012 avec des volumes en hausse de 1,3% à 44,8 millions d'unités. Merci Android ! 

Sur ce marché, les smartphones captent désormais 63% des ventes. Des ventes qui ont d'ailleurs augmenté de 37% à 28,2 millions d'unités. Les ventes de téléphones standards, elles, continuent de décliner (-30%) avec 23,6 millions d'unités écoulées. "Malgré un environnement économique fragile, les consommateurs montrent qu'ils ont encore envie d'investir dans des smartphones si les fabricants parviennent à cibler avec précision leurs besoins et sont capables de proposer les bons produits" note Francisco Jeronimo, manager chez IDC. Au cours de ce trimestre, les smartphones les plus chers ont apparemment bien marché. Les modèles à plus de 400 euros représentent d'ailleurs 49% des ventes, l'iPhone 4S et le Samsung Galaxy SII en tête.

Les ventes de terminaux Android aussi ont progressé de 124% par rapport à 2011 avec 15,5 millions d'unités vendues et représentent désormais 55% des ventes de smartphones. Les terminaux Android dominent d'ailleurs le segment des modèles premier prix, autrefois le terrain de chasse attitré de Symbian (Nokia) et BlackBerry. Les ventes d'iPhone 4S ont continué leur progression (+59%). En revanche, les ventes de BlackBerry ont chuté de 27% (2,5 millions d'unités). Même chose pour les mobiles tournant sous Symbian qui ne représentent plus qu'à peine 5% du marché et qui peinent à séduire les utilisateurs. Quant aux Windows Phone, leurs ventes ont augmenté de 156%, mais ils ne représentent encore que 4,1% des ventes de smartphones.

Du côté, des fabricants, Samsung reste l'incontestable numéro 1 du secteur avec 40% de parts de marché et 18,1 millions de mobiles vendus, dont 10,9 millions de smartphones, segment sur lequel le fabricant sud-coréen est aussi leader. Nokia s'accroche à sa seconde place au classement général avec 19% de parts de marché et 8,7 millions de mobiles vendus dont 2,3 millions de smartphones. Apple et son iPhone 4S se classe 3ème avec 7 millions d'unités vendues et 16% de parts de marché. RIM arrive à la 4ème place avec 2,5 millions de BlackBerry vendus. Enfin, Sony se hisse à la 5ème place avec 1,9 million de mobiles vendus et 4% de parts de marché. Notez que du côté des smartphones, HTC figure dans le Top 5 avec 1,6 millions de terminaux écoulés et (6%) de parts de marché.


Top Western European Mobile Phone Vendors, Total Shipments and Market Share, 1Q12
Smartphones and Feature Phones (Units in Millions)
    Vendor
1Q12 Unit Shipments
1Q12 Market Share
1Q11 Unit Shipments
1Q11 Market Share
1Q12/1Q11 Change
    1. Samsung
18.1
40%
13.5
30%
34%
    2. Nokia
8.7
19%
12.6
28%
-31%
    3. Apple
7
16%
4.4
10%
59%
    4. Research in Motion
2.5
6%
3.5
8%
-27%
    5. Sony
1.9
4%
2.1
5%
-8%
    6. Others
6.6
15%
8.1
19%
-19%
    Total
44.8
100%
44.2
100%
1.3%
Source: IDC European Quarterly Mobile Phone Tracker, May 2012
Top Western European Mobile Phone Vendors, Shipments and Market Share, 1Q12
Smartphones (Units in Millions)
    Vendor
1Q12 Unit Shipments
1Q12 Market Share
1Q11 Unit Shipments
1Q11 Market Share
1Q12/1Q11 Change
    1. Samsung
10.9
39%
2.9
14%
273%
    2. Apple
7
25%
4.4
21%
59%
    3. Research in Motion
2.5
9%
3.5
17%
-27%
    4. Nokia
2.3
8%
4.2
20%
-45%
    5. HTC
1.6
6%
2.6
12%
-40%
    6. Others
3.9
13%
3
16%
30%
    Total
28.2
100%
20.6
100%
37%
Source: IDC European Quarterly Mobile Phone Tracker, May 2012
Publié le lundi 28 mai 2012

Tribune libre : des défis de sécurité avec l’IPv6

A lire sur:  http://www.itespresso.fr/tribune-libre-defis-securite-ipv6-53631.html

Le lancement mondial de l’IPv6 est imminent, mais la méconnaissance généralisée du protocole soulève des enjeux sécuritaires. Une tribune de Christophe Auberger, responsable technique chez Fortinet.
Il ne fait aucun doute que le lancement mondial imminent du protocole IPv6 le 6 juin 2012 annonce une nouvelle ère de l’infrastructure Internet dans le monde entier, à la fois en termes d’évolution et d’adoption généralisée.
Le monde a déjà eu un avant-goût du nouveau protocole en juin dernier, lors de la Journée Mondiale IPv6.

Menés par l’Internet Society, plus de 1 000 sites Internet, entreprises high-tech et FAI ont été encouragés à passer collectivement à l’IPv6 durant une période de 24 heures pour « tester » le protocole et essayer d’anticiper les problèmes techniques qui pourraient se produire lors du lancement officiel.
Le 6 juin 2012, les principales organisations high-tech et leaders du Web tels que Google, Facebook et Yahoo, entre autres, basculeront vers le nouveau protocole Internet lors du lancement mondial officiel.
Et la transition devient de plus en plus nécessaire. Le protocole actuel IPv4, qui supporte environ 3,7 milliards d’adresses, a simplement épuisé le stock d’adresses disponibles, en partie du fait de l’explosion des appareils mobiles.
Mais l’IPv6, de son côté, a une capacité illimitée d’adresses, ce qui lui permet de s’adapter à une infrastructure mobile et Internet mondiale en pleine croissance.
Cependant, avec le lancement imminent du protocole mondial IPv6, les chercheurs et professionnels de l’IT anticipent certains défis, en particulier en matière de sécurité.
L’aspect novateur et le manque de connaissances relatifs au protocole IPv6 feront qu’il y aura forcément des erreurs de configuration, des problèmes de compatibilité et autres maladresses d’implémentation.
Il n’existe pas les connaissances institutionnelles sur l’IPv6 que l’on a sur l’IPv4, qui a été utilisé depuis des décennies et offre une vaste base de connaissances.Christophe Auberger Fortinet IPv6
Mais peut être que le plus important défi en matière de sécurité est que de nombreux appareils de sécurité réseau sont capables de transférer le trafic IPv6, mais pas de l’inspecter.
Et, comme l’IPv6 est activé par défaut sur de nombreuses plates-formes réseau actuelles – telles que Windows 7 – ces systèmes sont déjà installés sur le réseau.
(Lire la fin de la tribune page 2)

Audi e-bike : le VTT électrique du futur pilotable avec un smartphone

A lire sur:  http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/technologie-1/d/audi-e-bike-le-vtt-electrique-du-futur-pilotable-avec-un-smartphone_38974/#xtor=EPR-17-[QUOTIDIENNE]-20120528-[ACTU-audi_e-bike_:_le_vtt_electrique_du_futur_pilotable_avec_un_smartphone]

Par Marc Zaffagni, Futura-Sciences
 
Le constructeur automobile allemand Audi a conçu un prototype de vélo tout terrain électrique entièrement en carbone pouvant atteindre les 50 km/h. Sa connexion Wi-Fi permet de contrôler ses cinq modes de pilotage via un smartphone.
À quoi peut ressembler un vélo tout terrain (VTT) électrique signé Audi ? À un engin au design futuriste que l’on verrait bien chevauché par quelque superhéros masqué. Baptisé Audi e-bike Wörthersee, ce prototype a été dévoilé par la marque allemande à l’occasion de son show annuel consacré à ses innovations en matière de design.
Cet e-bike est un VTT électrique tout suspendu, c’est-à-dire équipé d’un amortisseur arrière et d’une fourche avant offrant un débattement de 130 mm. Son cadre entièrement fait de carbone (carbon fiber reinforced plastic, CFRP) ne pèse que 1,6 kg. Ses roues de 66 cm aux rayons profilés en forme de lame sont faites du même matériau. Le vélo est équipé d’une batterie lithium-ion amovible de 48 volts (délivrant 530 Wh) qui peut être rechargée en deux heures. Elle alimente un moteur électrique logé dans le boîtier de pédalier qui délivre un couple maximal de 250 Nm et peut propulser l’engin à 50 km/h avec une autonomie de 50 à 70 km selon que le cycliste aide ou non le vélo en pédalant. Mais ce n’est pas tout…

Le champion de Trial Julien Dupont teste le e-bike d'Audi. © Audi/YouTube
Un écran tactile embarqué dans un VTT
L’Audi e-bike intègre également un système d’assistance électronique grâce auquel on peut cabrer le vélo sur la roue arrière et rouler ainsi sans perdre l’équilibre.
Le pilote peut choisir l’un des cinq programmes de conduite disponibles à partir de l’écran tactile intégré au tube supérieur du cadre ou bien via son smartphone connecté en Wi-Fi. Par exemple, le mode baptisé « Wheelie » est celui qui permet de rouler sur la roue arrière avec l’assistance électronique. On peut définir un angle de cabrage fixe de sorte que « les capteurs intégrés mesurent l’angle de la roue arrière. Si l’angle actuel dévie de l’angle programmé dans le smartphone, alors le moteur électrique intervient », nous a expliqué un porte-parole d’Audi.
Les riders les plus aguerris peuvent aussi opter pour un contrôle à l’aide des mouvements du corps. Le principe est alors similaire à celui du gyropode Segway avec des gyroscopes couplés à des algorithmes qui contrôlent en permanence l’équilibre et la vitesse. L’e-bike accélère si le pilote se penche en avant et ralentit s’il déplace son poids vers l’arrière.
E-bike, juste un prototype mais…
L’ordinateur de bord affiche le mode de pilotage choisi, l’état de la batterie, la vitesse, la distance parcourue ou encore le dénivelé. À la manière de ce que font les adeptes de Freestyle, le pilote peut réaliser un grand nombre de figures avec le vélo en exploitant le système de cabrage pour franchir des obstacles, faire des sauts, etc. Son parcours est enregistré, il marque à chaque fois des points et peut partager ces informations avec ses amis via Facebook. Un peu futile diront certains, mais tout de même bien pensé. L’Audi e-bike n’est pour le moment qu’une « étude de concept » et sa commercialisation n’est pas prévue. « Mais Audi est cependant bien sûr très intéressé par les réactions des médias et du public », nous a-t-on déclaré.

Espagne : Telefonica et Vodafone sur le point d'arrêter les subventions de mobiles

A lire sur:  http://www.businessmobile.fr/actualites/espagne-telefonica-et-vodafone-sur-le-point-d-arreter-les-subventions-de-mobiles-39772091.htm#xtor=EPR-10010

Business - Associer un smartphones presque gratuit à un abonnement n'est plus un modèle économique viable, estiment les deux opérateurs.
La fin d'une époque ? Reuters révèle ce vendredi que Telefonica et Vodafone vont tester en Espagne l'arrêt pur et simple des fortes subventions accordées pour l'achat d'un mobile associé à un forfait de 12 ou 24 mois. Il s'agirait de remplacer cette remise par un paiement échelonné, un peu comme Free Mobile en France.
L'agence de presse explique : "Même s'ils rentrent généralement dans leur frais à la fin du contrat, certains opérateurs s'inquiètent de l'impact de cette généreuse habitude sur leurs bénéfices, d'autant que le prix des smartphones enfle et que certains consommateurs "accros" veulent changer de modèle chaque année".

Cette décision sont motivées par plusieurs facteurs : le succès des offres low-cost et la situation financière médiocre des opérateurs européens. Or, pour permettre des subventions importantes, les opérateurs doivent acheter massivement des terminaux aux fabricants.
Marges
Ainsi, les dépenses dédiées aux mobiles ont plus que doublé pour atteindre 13 milliards d'euros l'an dernier, une somme supérieure à celle consacrée à l'amélioration des réseaux, selon le cabinet d'études Bernstein Research, poursuit Reuters. L'objectif est donc de réduire ces dépenses.
"Il y a un sentiment d'inconfort par rapport à ces subventions très élevées et la prise de conscience qu'elles ne sont pas bonnes pour le secteur", a déclaré le patron de Telecom Italia, Franco Bernabe, lors d'une conférence.
"Il existe aujourd'hui de très bon smartphones Android avec des prix dans le bas de la fourchette, donc il est moins nécessaire de fortement subventionner les appareils juste pour alimenter la croissance des data", ajoute Vittorio Colao, directeur général de Vodafone.
Reste à savoir si ce choix est viable dans le temps. Les subventions permettent de fidéliser le client car il s'engage pour une période longue. Sans cette carotte, les consommateurs pourraient également être tentées d'acheter directement leurs mobiles auprès des fabricants. Reste que les modèles haut de gamme pourraient être impactées au vu de leurs prix nu (plus de 600 euros).
Bref, rien ne dit que la décision de ces deux opérateurs en Espagne soit maintenue. En France, on est d'ailleurs loin de ce choix. Mais si la suppression des subventions n'est pas à l'ordre du jour, elles pourraient néanmoins se réduire. Afin de préserver les marges des opérateurs.

Solar Microgrids

A lire sur:  http://www.technologyreview.com/article/40239/?nlid=nldly&nld=2012-05-28

Village-scale DC grids provide power for lighting and cell phones.
  • May/June 2012,  By Seema Singh
Rural Indians are replacing kerosene lamps with cheaper and cleaner LEDs. Credit: Anna Da Costa
Nearly 400 million Indians, mostly those living in rural communities, lack access to grid power. For many of them, simply charging a cell phone requires a long trip to a town with a recharging kiosk, and their homes are dimly lit by sooty kerosene-fueled lamps.
To change that, Nikhil Jaisinghani and Brian Shaad cofounded Mera Gao Power. Taking advantage of the falling cost of solar panels and LEDs, the company aims to build and operate low-cost solar-powered microgrids that can provide clean light and charge phones. Microgrids distribute electricity in a limited area from a relatively small generation point. While alternative solutions, such as individual solar-powered lanterns, can also provide light and charge phones, the advantage of a microgrid is that the installation cost can be spread across a village. The system can also use more efficient, larger-scale generation and storage systems, lowering operational costs.
Mera Gao's first commercial microgrid was deployed last summer, and eight more villages have been added since; there are plans to expand to another 40 villages this year with the help of a $300,000 grant from the U.S. Agency for International Development. The company has also encouraged others to enter the Indian market for off-grid renewable energy, which the World Resources Institute, a think tank based in Washington, DC, estimates at $2 billion per year.
A typical installation uses two banks of solar panels, located on different rooftops. Credit: Anna Da Costa
For a cost of $2,500, a hundred households, in groups of up to 15, can be wired up to two generation hubs, each consisting of a set of solar panels and a battery pack. The grid uses 24-volt DC power throughout, which permits the use of aluminum wiring rather than the more expensive copper wiring required for higher-voltage AC distribution systems. The village is carefully mapped before installation to ensure the most efficient arrangement of distribution lines. (Circuit breakers will trip if a freeloader tries to tap in.) "This mapping and design is our biggest innovation," Jaisinghani says.
Each household gets 0.2 amps for seven hours a night—enough to power two LED lights and a mobile-phone charging point—for a prepaid monthly fee of 100 rupees ($2); kerosene and phone charging generally cost 100 to 150 rupees a month.
Jaisinghani says Mera Gao's microgrid is not a replacement for grid power, but it's what people want and can pay for right now. Currently the technology supports only lighting and phone charging, but the company is exploring ideas such as community entertainment centers where the costs of television, radio, cooling fans, and information services are spread across a group of homes rather than being paid by a single user.

High-Speed Materials Discovery

A lire sur:  http://www.technologyreview.com/article/40248/?nlid=nldly&nld=2012-05-28

A new way to identify battery materials suitable for mass production could revolutionize energy storage.
  • May/June 2012,  By David H. Freedman
1/ Wildcat starts with a wide range of precursor materials that may have potential for energy storage and other applications. Credit: Frank Rogozienski
Electric cars could travel farther, and smart phones could have more powerful processors and better, brighter screens, thanks to batteries based on new materials being developed by San Diego–based Wildcat Discovery Technologies.
The company is accelerating the identification of valuable energy storage materials by testing thousands of substances at a time. In March of last year, it announced a lithium cobalt phosphate cathode that boosts energy density by nearly a third over current cathodes in popular lithium-ion phosphate batteries. The company also unveiled an electrolyte additive that allows batteries to work more reliably at higher voltages.
2/ Here, some precursor materials have been refined into powder suitable for making battery electrodes. Credit: Frank Rogozienski
Choosing the optimal materials for batteries is a particularly tricky problem. The devices have three principal components: an anode, a cathode, and an electrolyte. Not only can each be formed from almost any blend of a huge number of compounds, but the three components have to work well together. That leaves many millions of promising combinations to explore.
3/ Cathodes, anodes, and electrolytes are assembled into small working batteries, which are tested by the thousand in this tower. Testing materials together allows dud combinations to be eliminated quickly. Credit: Frank Rogozienski
To hunt down winning combinations, Wildcat has adopted a strategy originally developed by drug discovery labs: high-throughput combinatorial chemistry. Instead of testing one material at a time, Wildcat methodically runs through thousands of tests in parallel, synthesizing and testing some 3,000 new material combinations a week. "We've got materials in the pipeline that could triple energy density," says CEO Mark Gresser.
Others have tried the combinatorial technique to find new battery materials, but they've run into a stumbling block. The easy way to test thousands of materials is to deposit a sample of each one in a thin film atop a substrate. This approach did allow previous researchers to turn up promising materials for battery components—but then candidates would typically prove unsuited to cost-effective large-scale production processes.
To process so many samples, Wildcat relies heavily on automation. This assay machine weighs and records vials of materials. Credit: Frank Rogozienski
To avoid that time-wasting detour, Wildcat found ways to produce samples using miniaturized versions of large-scale production techniques. In effect, the candidate materials are being tested for ease of manufacturing at the same time as they're being tested for performance. Wildcat also tests the materials wired together as actual batteries, and in a variety of potential operating conditions. "There are a lot of variables that affect battery performance, including temperature and voltage, and we examine all of them," says Gresser. The result is that a material that performs well in a Wildcat test bed will probably perform well in field tests.
If Wildcat is successful, its efforts could lead to batteries that are smaller or more powerful than their present-day counterparts—improvements that will appeal to the makers of smart phones and electric vehicles alike.

Des robots qui grimpent à vos vêtements

A lire sur:  http://www.gizmodo.fr/2012/05/26/robots-grimpent-vetements.html?utm_source=Newsletter+Gizmodo&utm_campaign=7f8a57efc5-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email

ClothbotLa robotique en est encore à ses balbutiements mais l’imagination de ses ingénieurs n’a pas de limite, on en voit de toutes les formes, toutes les couleurs, capables d’accomplir toute sortes de tâches… Une équipe de chercheurs en a conçu un petit qui grimpe à nos vêtements.
C’est à l’Académie Chinoise de Sciences et à l’Université de Hong-Kong que l’on doit cette invention. Présenté lors de la conférence internationale sur la robotique et l’automatisme du Minnesota, Clothbot (“robot-vêtement”) n’a qu’un but : grimper sur votre chemise ou votre Jean’s. Sa technique d’escalade est plutôt simple, il coince le vêtement entre ses deux roues avant lui permettant ainsi d’avancer. Il peut aussi tourner et trouver seul son chemin.
L’équipe de Clothbot indique que ce robot pourrait servir de jouet, d’outil pour faciliter l’inspection du corps ou même, tenez-vous bien, de téléphone portable qui grimperait à votre épaule lorsque vous avez un appel…
[theverge]

Un écran tactile transparent double-face

A lire sur:  http://www.gizmodo.fr/2012/05/26/un-ecran-tactile-transparent-double-face.html?utm_source=Newsletter+Gizmodo&utm_campaign=7f8a57efc5-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email

L'écran tactile transparent double faceNTT Docomo, l’opérateur mobile numéro 1 au Japon, a fait forte impression en présentant il y a peu un prototype d’écran tactile transparent, double-face qui plus est…
La démonstration a été faite à un groupe restreint de privilégiés dans les locaux de l’opérateur et les heureux élus pouvaient observer une démonstration de Rubik’s Cube. Le contrôle tactile avec les faces avant et arrière permettait une précision inégalée et l’utilisation seule de l’arrière garantit une visibilité parfaite de l’écran.
Alors, même si ce prototype est l’oeuvre d’une branche de recherche et développement très isolée de NTT Docomo et que l’on ne peut donc malheureusement pas espérer une quelconque disponibilité avant au mieux des années, il faut avouer que les actions possibles avec ce genre d’écran seraient innombrables, les interfaces devraient grandement changer, notre appréhension des appareils tactiles aussi…
[theverge]

Facebook peut-il s’offrir Opera ?

A lire sur:  http://www.gizmodo.fr/2012/05/25/facebook-opera.html?utm_source=Newsletter+Gizmodo&utm_campaign=53b6bfc8f0-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email

OperaLe géant Facebook pourrait selon certaines sources tenter de s’offrir Opera, et ainsi faire une entrée fracassante sur le marché des navigateurs web. Rien que ça.

Facebook est sur tous les fronts dernièrement. Avec plus ou moins de réussite, et ce n’est pas sa récente entrée en bourse qui viendra nous donner tort. Mais cette fois, ce n’est pas de cela qu’il s’agit, mais d’une rumeur laissant entendre que le réseau social de Mark Zuckerberg serait intéressé pour mettre le grappin sur Opera, dans le but avoué de coller au short les Firefox, Chrome, IE, Safari et consorts, au moins sur la question du surf sur les terminaux mobiles.
Rien d’assuré évidemment, mais comme dirait l’autre, il n’y a jamais de fumée sans feu. Et puis, Facebook a récemment multiplié les acquisitions, dont un certain Instagram pour une somme coquette.
Pour en revenir à Opera, il faut tout de même savoir que la société revendique pas moins de 200 millions d’utilisateurs. De quoi démarrer du bon pied pour Facebook ?
[pocket-lint]

Record de distance battu pour la téléportation quantique : 143 km

A lire sur:  http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/record-de-distance-battu-pour-la-teleportation-quantique-143-km_38796/#xtor=EPR-17-[QUOTIDIENNE]-20120526-[ACTU-record_de_distance_battu_pour_la_teleportation_quantique_:_143_km]

Par Laurent Sacco, Futura-Sciences
 
Le record du monde de distance pour de la téléportation quantique a été battu deux fois en l’espace de quelques semaines. Une équipe chinoise a d'abord atteint 97 km. Mais on vient d’apprendre qu’Anton Zeilinger et ses collègues sont parvenus à téléporter des états quantiques entre Tenerife et La Palma, soit sur une distance de 143 km. La téléportation quantique, mais pas d'objets, avec des satellites serait à portée de mains.
C’est en 1993 que Charles Bennett et ses collègues travaillant chez IBM ont publié un article dans lequel ils proposaient un protocole expérimental devant permettre la téléportation d’états quantiques. Quatre ans plus tard, Anton Zeilinger publiait dans Nature un article annonçant qu’en compagnie d’autres chercheurs, il était parvenu à mettre en application les idées de Bennett pour faire de la téléportation quantique.
La performance est fascinante et elle a tout de suite déchaîné l’enthousiasme des fans de la série Star Trek, y voyant là l’espoir de rendre réel l’un des plus grands rêves de la science-fiction. Malheureusement, il y a peu de chance de voir un jour les équivalents de monsieur Spock et du capitaine Kirk disparaissant de la surface de Pandora ou d’une superterre pour réapparaître par téléportation à l’intérieur de l'’Enterprise.
Le physicien Anton Zeilinger.
Le physicien Anton Zeilinger. © Jaqueline Godany
On peut même affirmer que c’est impossible, en tout cas par téléportation quantique. La raison en est que seul un état quantique est téléporté, de l’information donc, pas de la matière. En outre, le système physique initial portant l’information est détruit. Dans le meilleur des cas, un clone complet, mémoire et état de conscience compris, d’un des personnages de Star Trek pourrait éventuellement être reconstruit à bord de l’Entreprise mais l’original serait bel et bien mort.
La téléportation quantique en elle-même repose sur le phénomène d’intrication quantique découvert théoriquement par Einstein et Schrödinger dans les années 1930. C’est ce phénomène qui est au cœur du célèbre paradoxe EPR et dont l’existence a été vérifiée en 1982 par Alain Aspect et ses collègues. Les principes de la téléportation quantique sont expliqués dans leurs grandes lignes par cette vidéo d’un des pionniers des technologies de l’information quantique, Nicolas Gisin.

Qu'est-ce que la téléportation d'un état quantique et à quoi cela peut-il servir ? Des explications données par l'un des pionniers de la téléportation et de la cryptographie quantique. © Save-École Polytechnique Fédérale de Lausanne/YouTube
Vers un réseau de communication par téléportation quantique
Comme la technologie de la téléportation quantique pourrait au moins servir à faire un réseau sûr de communication avec cryptographie, on comprend pourquoi plusieurs laboratoires dans le monde cherchent à téléporter des états quantiques sur des distances de plus en plus grandes. Récemment, on apprenait qu’une équipe chinoise avait battu le record de distance pour la téléportation quantique avec 97 km. Les détails de la performance des chercheurs de l’université de Shangaï se trouvent dans un article publié sur arxiv.
Mais voilà que l’on apprend, aussi par l’intermédiaire d’un article déposé sur arxiv, qu’Anton Zeilinger et ses collègues ont déjà pulvérisé ce record en faisant de la téléportation quantique sur une distance de 143 km. Il y a déjà presque un an, les physiciens tentaient d’utiliser des photons pour réaliser une téléportation quantique entre deux îles des Canaries bien connues, La Palma et Tenerife, mais le mauvais temps les en avait empêché. La seconde tentative a finalement été la bonne !
Bien que des satellites de communication se trouvent à des distances plus grandes dans l’espace, l’épaisseur d’atmosphère à traverser, et donc des effets parasites qui seraient dus à la poussière ou la pluie, sont bien moindres. On serait donc bien au seuil de l’établissement de véritables télécommunications quantiques sur de grandes distances.

Vers une Hadopi sans coupure Internet ?

Pour le Syndicat national de l'industrie phonographique (SNEP), la sanction de la coupure temporaire de connexion à Internet n'est pas un passage obligatoire. Le collectif milite pour la mise en place d'une autre forme de sanction.

Réseau ethernet
Le président du SNEP laisse entrevoir une alternative à la coupure de la connexion Internet. Le responsable estime que si le principe de la sanction pour mise à disposition d'un contenu doit être respecté, il pourrait prendre une autre forme que celle actuellement prévue.

Interrogé par La Tribune, Denis Ladegaillerie explique que : « si on supprime toute forme de sanction, on franchit la ligne rouge. En revanche, si on renforce l'aspect pédagogique, en augmentant le nombre de mails envoyés, si on laisse un niveau d'amende pas trop élevé mais suffisamment dissuasif pour que télécharger illégalement ne soit pas plus intéressant que s'abonner à une offre, la suspension d'accès n'est pas nécessaire dans le dispositif ». Le responsable tentera donc de faire entendre son point de vue lors des prochains rendez-vous programmés avec le gouvernement.

Pour rappel, la riposte graduée se déroule en trois temps. Un internaute est tout d'abord averti et reçoit plusieurs notifications (e-mail, courrier) de son FAI. Si les infractions se répètent, la Hadopi a le pouvoir de transmettre son dossier à la justice. Cette « troisième phase » permet donc à la Commission de protection des droits de véritablement « passer la main » à la justice.

Cette dernière peut alors décider de sanctionner un internaute par une peine pouvant aller jusqu'à 1 500 euros d'amende et 1 mois de suspension de sa connexion Internet. A ce jour, plusieurs dossiers ont été transmis aux tribunaux mais aucune sanction n'a encore été prononcée.