lundi 24 juin 2013

Réseaux Sociaux d’Entreprise : Facebook loin devant Sharepoint, IBM et Yammer

A lire sur:  http://www.demainlaveille.fr/2013/06/21/reseaux-sociaux-dentreprise-facebook-loin-devant-sharepoint-ibm-et-yammer/

L’adoption des réseaux sociaux d’entreprise, qu’ils soient des outils dédiés comme Sharepoint de Microsoft, Open Connection d’IBM ou plutôt grand public comme Facebook et Twitter, est en croissance régulière depuis quelques années. Les plateformes professionnelles sont conçues pour aider à résoudre des problématiques professionnelles rencontrées dans les entreprises, contrairement aux outils grands publics, qui sont plutôt conçus pour répondre à des besoins et des pratiques individuelles. Mais étant donné que les frontières deviennent de moins en moins évidente, la scène des réseaux sociaux d’entreprise se retrouve elle aussi impactée par ces changements.
Avanade, firme américaine spécialisée dans les services d’accompagnement autour des réseaux sociaux d’entreprise, a publié récemment les résultats d’une étude sur les pratiques collaboratives dans les entreprises et comment elles sont impactées par les technologies grand public comme Facebook et Twitter.
Menée auprès de 4,000 collaborateurs, ainsi que 1,000 décideurs et professionals IT dans 22 pays, l’étude montre des écarts entre la perception et la réalité. Ainsi Facebook est utilisé par 74% des entreprises ayant adopté des outils sociaux en interne, suivi par Twitter avec 51%, LinkedIn avec 45%, SharePoint avec 39%, IBM Open Connections avec 17%, Salesforce Chatter avec 12%, Yammer avec 11% et Jive avec 7%.
Donc même si Facebook, Twitter ou encore Linkedin ne disposent pas pour l’instant de fonctionnalités « entreprise » de stockage et de partage de données, ni d’édition collaborative ni d’intégration avec les autres plateformes métier, ils restent quand même en tête du classement d’adoption par les utilisateurs.
D’autre part, 60% des entreprises interrogées confirment que la plupart de leurs collaborateurs utilisent des terminaux personnels dans le cadre de leurs activités, et expliquent que l’une des raisons derrière ça se situe au niveau des contraintes informatiques internes.

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