A lire sur: http://www.lemagit.fr/technologie/services-it/inde-externalisation/2013/07/01/les-geant-de-lit-se-felicitent-de-la-reforme-de-limmigration-de-travail-aux-etats-unis/
Le 1 juillet 2013 (18:42) - par Valéry Marchive
Satisfaits. Les patrons de Google, Yahoo,
Microsoft, Cisco ou encore Oracle ont salué l’adoption d’une importante
réforme de l’immigration de travail outre-Atlantique. Celle-ci prévoit
notamment de relever de 65 000 à 110 000 le nombre de visas H-1B
accordés chaque année, avec possibilité d’extension à 180 000, si le
marché le nécessite. Elle facilite également le maintien dans le pays
des étudiants immigrants ayant obtenu aux Etats-Unis un diplôme en
sciences, technologie, ingénierie ou mathématiques. Les grands
spécialistes américains de l’IT avaient largement milité en faveur de ces assouplissements.
Mais le texte comporte également des dispositions contre lesquelles l’Inde s’est fortement mobilisée, en vain. Celles-ci visent notamment à exercer une pression financière renforcée sur les entreprises qui ont massivement recours aux visas H-1B sans pour autant beaucoup contribuer à l’emploi sur le territoire américain.
Toutefois, selon le Business Standard, Infosys, TCS ou encore Wipro pourraient bien ne pas être les principaux perdants de cette réforme : Cognizant serait le plus vulnérable, «notamment en raison de ses marges plus faibles et de la part plus importante de son chiffre d’affaires générée aux Etats-Unis», selon une étude de JP Morgan citée par nos confrères.
Mais le texte comporte également des dispositions contre lesquelles l’Inde s’est fortement mobilisée, en vain. Celles-ci visent notamment à exercer une pression financière renforcée sur les entreprises qui ont massivement recours aux visas H-1B sans pour autant beaucoup contribuer à l’emploi sur le territoire américain.
Toutefois, selon le Business Standard, Infosys, TCS ou encore Wipro pourraient bien ne pas être les principaux perdants de cette réforme : Cognizant serait le plus vulnérable, «notamment en raison de ses marges plus faibles et de la part plus importante de son chiffre d’affaires générée aux Etats-Unis», selon une étude de JP Morgan citée par nos confrères.
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