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Impossible de démarrer si le conducteur n'est pas reconnu,
montre le fabricant japonais de capteurs Alps Electric sur le salon
Ceatec. (crédit : IDGNS)
Le 01 Octobre 2013
Impossible de démarrer si le conducteur n'est pas reconnu,
montre le fabricant japonais de capteurs Alps Electric sur le salon
Ceatec. (crédit : IDGNS)
Le fabricant japonais Alps Electric a présenté sur
Ceatec un habitacle et un tableau de bord équipés de ses capteurs. Un
système de reconnaissance faciale permet au conducteur de démarrer le
véhicule et un ensemble de capteurs effectue de multiples contrôles
avant et pendant le trajet.
Plus besoin de clé pour ouvrir sa voiture demain, inutile non plus
d'ajuster son siège pour s'installer au volant tandis que s'effectue un
rapide bilan de santé du conducteur. Le véhicule du futur, tel que le
voit le groupe électronique japonais Alps Electric, est équipé d'un
tableau de bord et d'un habitacle conducteur équipés de ses capteurs. Le
fabricant l'a présenté sur le salon Ceatec, qui se tient jusqu'au 5
octobre au centre d'expositions Makuhari Messe, près de Tokyo. Notre
confrère Martyn Williams, d'IDG News Service, s'y est rendu.
Il n'y a plus besoin de clé parce que la voiture disposera d'un système de reconnaissance faciale. Si le conducteur n'est pas enregistré, il ne pourra pas la démarrer.
Le capteur facial du véhicule de demain tel qu'imaginé par Alps Electric (crédit : IDGNS)
Et n'imaginez pas pouvoir le faire non plus si votre taux d'alcoolémie ne vous le permet pas. Une ligne de capteurs contrôle les signes vitaux, comme les battements de coeur. Il ne laissera pas le conducteur partir si sa condition physique ne lui permet pas de conduire en toute sécurité.
« Regarde la route ! »
Dans le tableau de bord, un capteur NFC établit le lien entre le système informatique de la voiture et un smartphone qui, à son tour, se connecte à Internet. Si pendant le trajet, le conducteur doit actionner certaines fonctions sur le téléphone, il lui suffit de bouger la main. La présence d'un système de reconnaissance de gestes évite à l'utilisateur de consulter l'écran du téléphone alors qu'il conduit, ce qui d'ailleurs, est interdit par la loi dans de nombreux pays.
Sur la route, le système de reconnaissance facial s'assure que le conducteur garde les yeux sur la route et qu'il contrôle bien le véhicule. La démonstration présentée sur Ceatec a pour objectif de présenter les capteurs d'Alps Electric. Mais les mêmes technologies sont actuellement développées par les constructeurs automobiles.
L'habitacle du futur tel que l'imagine le fabricant de capteurs Alps sur le salon Ceatec, près de Tokyo. (crédit : Martyn Williams, IDGNS San Francisco).
Il n'y a plus besoin de clé parce que la voiture disposera d'un système de reconnaissance faciale. Si le conducteur n'est pas enregistré, il ne pourra pas la démarrer.
Le capteur facial du véhicule de demain tel qu'imaginé par Alps Electric (crédit : IDGNS)
Et n'imaginez pas pouvoir le faire non plus si votre taux d'alcoolémie ne vous le permet pas. Une ligne de capteurs contrôle les signes vitaux, comme les battements de coeur. Il ne laissera pas le conducteur partir si sa condition physique ne lui permet pas de conduire en toute sécurité.
« Regarde la route ! »
Dans le tableau de bord, un capteur NFC établit le lien entre le système informatique de la voiture et un smartphone qui, à son tour, se connecte à Internet. Si pendant le trajet, le conducteur doit actionner certaines fonctions sur le téléphone, il lui suffit de bouger la main. La présence d'un système de reconnaissance de gestes évite à l'utilisateur de consulter l'écran du téléphone alors qu'il conduit, ce qui d'ailleurs, est interdit par la loi dans de nombreux pays.
Sur la route, le système de reconnaissance facial s'assure que le conducteur garde les yeux sur la route et qu'il contrôle bien le véhicule. La démonstration présentée sur Ceatec a pour objectif de présenter les capteurs d'Alps Electric. Mais les mêmes technologies sont actuellement développées par les constructeurs automobiles.
L'habitacle du futur tel que l'imagine le fabricant de capteurs Alps sur le salon Ceatec, près de Tokyo. (crédit : Martyn Williams, IDGNS San Francisco).
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