mercredi 29 janvier 2014

Internet des objets : le cri d’alarme de Bruce Schneier

A lire sur: http://www.linformaticien.com/actualites/id/31569/internet-des-objets-le-cri-d-alarme-de-bruce-schneier.aspx

par Stéphane Larcher, le 07 janvier 2014 10:19

Spécialiste de réputation mondiale en matière de sécurité IT, Bruce Schneier explique dans une tribune que le monde court à la catastrophe si des mesures énergiques ne sont pas prises en matière de sécurisation des objets connectés.
Intervenant depuis de nombreuses années dans les plus grandes conférences dédiées à la sécurité IT, Bruce Schneier n’a jamais brillé par son optimisme quant à la sécurité IT mais tel n’est pas son rôle. En effet, il met en permanence le doigt là où cela fait mal dans l’espoir que les acteurs de l’industrie comme les utilisateurs prennent plus conscience des dangers qui les guettent. Jusqu’à présent, si notre homme n’a pas prêché dans le désert, il n’a pas non plus été écouté à la hauteur de ses attentes.
Hier dans une tribune publiée sur le magazine Wired et accessible à cette adresse, il met en exergue l’absence de sécurité des objets connectés, des appareils qui les relient (les routeurs en particulier) et la quasi impossibilité de « patcher » les failles qui affectent les objets. L’article débute ainsi : « Nous sommes désormais à un point de crise en ce qui concerne la sécurité des systèmes embarqués, où l’informatique est embarquée dans le matériel lui-même – comme pour l’internet des objets. Ces systèmes embarqués sont criblés de vulnérabilités et il n’y a pas de bon moyen pour les patcher ».

Plus de la moitié des routeurs piratables

M. Schneier remonte ensuite la longue histoire de la sécurité informatique en relatant les difficultés similaires avec les logiciels dans le milieu des années 90 jusqu’à ce que les constructeurs et éditeurs de logiciels prennent le problème à bras le corprs et commencent à proposer des solutions plus efficaces, en particulier au travers de mises à jour automatiques. 
Mais, ajoute-t-il, le problème est radicalement différent car tous les ordinateurs sont connectés et les routeurs et modems qui assurent les connexions sont plus puissants que les ordinateurs de la période précitée. Il prend ensuite comme exemple une démonstration effectuée l’été dernier au Defcon où plus de la moitié des 30 routeurs domestiques testés ont été piratés par un hacker.

Des centaines de millions de périphériques non patchés

Il explique ensuite la nature de ces objets connectés équipés de puces provenant de Qualcomm, Marvell ou Broadcom et généralement des morceaux de Linux, de composants Open Source agrémentés de quelques technologies propriétaires. Le problème ne réside pas tant dans le système Linux mais dans les versions des "paquets" qui sont installés. Reprenant l’exemple des routeurs domestiques évoqués plus haut, il souligne que la plupart sont équipés de versions de Linux qui ont plus de 4 ans et de systèmes de gestion de fichiers Samba âgé d’au moins 6 ans, le tout avec l’absence de sources. Certes, il existe bien les sources de ces applications mais dans les fameux objets, il ne s’agit que de « binary blobs » très difficiles voire impossibles à patcher. Particulièrement pour des utilisateurs peu familiers de ces techniques. 
« Le résultat est que des centaines de millions de périphériques sont assis sur l’Internet, non patchés et non sécurisés, depuis les 5 à 10 dernières années ». Bruce Schneier cite ensuite le cas d’un piratage au Brésil ayant affecté 4,5 millions de routeurs DSL ou encore une récente alerte de Symantec signalant un ver s’attaquant aux routeurs, caméras et autres périphériques embarqués en ajoutant que l‘Internet des Objets va rendre le problème encore plus aigu.

Dossier Médical Personnel : 500 millions d'euros pour 428000 dossiers !

A lire sur: http://www.linformaticien.com/actualites/id/31575/dossier-medical-personnel-500-millions-d-euros-pour-428000-dossiers.aspx

par Emilien Ercolani, le 07 janvier 2014 14:40

Lancé en 2004, le Dossier Médical Personnel semble un échec total : seuls 428000 dossiers ont été créés en dix ans ! Problème : le chantier a déjà englouti plus de 500 millions d’euros. Avant un second volet prévu par la ministre de la Santé. 
« C’est choquant !, s’offusque Gérard Bapt, député PS de Haute-Garonne et spécialiste des questions de santé. Il est scandaleux de ne pas pouvoir connaître au centime près ce que coûte un projet financé avec l’argent du contribuable ». Et pour cause, le DMP (Dossier Médical Personnel), sorte de carnet de santé individuel numérisé et virtualisé, n’a jamais réellement vu le jour. Alors qu’on attendait en 2013 cinq millions de dossiers créés, on en compte tout juste 400000 actuellement ; le 17 mars 2012, on en dénombrait 100000.  

Une « v2 » déjà annoncée

Le projet n’est donc pas à l’arrêt, mais peine à véritablement se mettre en place. Lancé en 2004 par Philippe Douste-Blazy, il a été par la suite relancé en 2007 par Roselyne Bachelot. Il est quasi au point mort encore aujourd’hui. L’actuelle ministre de la Santé Marisol Touraine a annoncé une « deuxième génération » du DMP pour les mois à venir. Cette future version se veut plus efficace, mais les réformes n’ont pas été annoncées. 
Se pose donc aujourd’hui la question du financement. En 2013, la Cour des Comptes publiait un rapport mentionnant 210 millions d’euros déjà injectés dans le projet. Toutefois, les magistrats estimaient que « l’absence de suivi financier précis et l’impossibilité de consolider le montant des fonds publics considérables consacrés sont gravement préjudiciables à l’appréciation de son coût réel », relèvent nos confrères du Parisien. Ils ont également eu accès à une note interne et confidentielle du Conseil national de la qualité et de la coordination des soins. Pour ce dernier, plus de 500 millions d’euros auraient en fait déjà été mis sur le tapis pour le DMP ! 

Plus de 500 millions engloutis

Il est encore difficile de savoir exactement pour quoi a été utilisé cet argent, qui provient en grande partie de l’assurance maladie. La Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) refuse de s’exprimer sur le sujet. « Aux 500 M€ versés par l’assurance maladie, on peut aussi ajouter les coûts induits par l’adaptation du dossier informatisé dans les hôpitaux, les heures de formation, toutes ces dépenses qui ne concernent pas directement l’élaboration du dossier mais qui sont bien réelles. On peut très bien atteindre le milliard d’euros ! », ajoute le député Gérard Bapt. 
Pour sa « V2 », le DMP pourrait être laissé aux bons soins de la CNAM ; alors qu’il a été jusqu’aujourd’hui géré par une agence créée spécifiquement : l’ASIP (Agence des systèmes d’information partagés de santé). 

mardi 28 janvier 2014

Connected toothbrush guides tooth-cleaning with smartphone app

A lire sur: http://www.itworld.com/398652/connected-toothbrush-guides-tooth-cleaning-smartphone-app

The toothbrush designers hope to launch a crowdfunding project on Kickstarter in the second quarter

By , IDG News Service
French upstart Kolibree is demonstrating its connected electric toothbrush at the International CES trade show. The toothbrush tells users how well they are brushing their teeth via a smartphone app.
Using Kolibree's product every brushing is recorded, and the data tells users if they have brushed long enough and cleaned hard-to-reach but important parts of their teeth and gums, according to Kolibree. The more people learn about their brushing habits, the faster they can do something to improve them, the company said.
The toothbrush is connected via Bluetooth to a smartphone running Kolibree's app. There will be versions of the app for Apple's iPhones, the iPod Touch and Android-based smartphones such as the Samsung Galaxy S III and 4, according to Kolibree's website.
The app can keep track of multiple users, but Kolibree recommends one toothbrush per user. The brushing data will also be made available via an API (application programming interface) to let third party developers to create new apps.
The toothbrush is designed to work under up to 1 meter of water for up to 30 minutes without damage. The brush-head is replaceable (two are included) but the battery isn't. It is expected to last for about two years, and when it eventually dies, users will have to buy a new brush.
Kolibree hopes to obtain funding for the toothbrush through the crowdfunding website Kickstarter during the second quarter. Supporters will be able to pledge between US$99 and $200 depending on the toothbrush model they want. (That sum excludes charges such as taxes and import duties.) Extra brush heads will cost about $18 for a set of three.
The company hopes to ship toothbrushes as rewards to Kickstarter backers in the third quarter. Its goal is then to start selling them online and in stores during the fourth quarter in Europe and the U.S.

Conseils d'Experts: Le “Consommateur connecté” a résolument transformé le marketing !

A lire sur: http://www.ecircle.com/fr/centre-dexpertise/conseils-dexperts/le-consommateur-connecte.html
La révolution digitale connecte les individus tout autour du monde à travers de multiples canaux – indépendamment de l’heure et de l’endroit. Que l’on veuille entrer en contact avec ses amis, sa famille ou ses collègues de travail : les technologies d’aujourd’hui rendent tout cela possible. Le consommateur dit “connecté” crée non seulement de nouveaux défis pour les responsables marketing mais aussi de très grandes opportunités.
Parce qu’il laisse des traces précieuses que les marketeurs devraient utiliser pour créer des communications et des interactions ciblées et personnalisées avec leurs clients. La Data est ainsi la nouvelle monnaie de l’ère Digitale. Pour vous, en tant que marketeur, cela signifie que le marketing axé sur les données et l’Integrated Marketing Management sont indissociables. L’article « Réponses d’experts » de ce mois-ci vous explique comment relever les nouveaux défis du « consommateur connecté ».
De nos jours, le marketing se doit d’être plus efficace et performant que jamais ! Alors seulement il devient possible de gérer l’équilibre entre l’augmentation des demandes du consommateur et la baisse des ressources. L’Integrated Marketing Magenement aide à dépasser ces défis et à les relever – les services IT et Communication sont des alliés stratégiques pour un succès durable.
La relation entre les entreprises et les consommateurs a changé du tout au tout. Aujourd’hui, le consommateur décide, quand, à quelle fréquence et par quel canal il veut communiquer avec les marques. Il sait que les données sont des informations précieuses pour les entreprises et il décide de ce qu’il souhaite partager et de l’usage qu’il en est fait.
En tant que responsable marketing, vous savez que ces données contiennent des informations uniques sur les consommateurs : des données d’achats aux discussions sur les réseaux sociaux. Il faut bien sûr être capable de faire le tri entre toutes ces informations et d’en comprendre l’importance à travers des analyses et de pouvoir les traduire en activités concrètes. La data est ainsi la base de toute décision efficace ; vous en avez besoin pour planifier des campagnes performantes, pour les optimiser et pour identifier les problématiques principales rencontrées par vos clients. Avec l’aide de toute cette information disponible, vous créez un dialogue personnel et pertinent avec le consommateur. Le marketing axé sur les données est en voie de devenir le facteur clé d’une communication client réussie.
Les données structurelles (ex. Données d’achat) et les données multi structurelles, telles que les images, les posts sur les réseaux sociaux sont déjà disponibles dans la plupart des entreprises. Cependant leur utilisation efficace reste un défi majeur. Le cloisonnement des données, le manque de temps et la complexité des process empêchent un usage ciblé des données.
Les 3 étapes suivantes montrent comment fonctionne le marketing axé sur les données 
1. Collecter & Intégrer
Collectez les données clients à partir de tous les canaux disponibles pour obtenir une vue actuelle de vos clients à 360°. 

2. Analyser & Comprendre
Analysez les données intégrées pour comprendre les différents types de comportement et les intérêts des consommateurs pour construire un dialogue en temps réel avec vos clients. 

3. Optimiser & Agir
Optimisez des campagnes déjà existantes en utilisant de nouvelles informations et mettez de côté les activités qui ne sont pas à la hauteur des attentes de vos clients. Vous pourrez ainsi utiliser le potentiel caché en plaçant la bonne offre au bon moment et sur le bon canal.
Les technologies marketing sont bien sûr l’alpha et l’omega d’une implémentation réussie d’un marketing axé sur les données dans une entreprise – de la planification à l’exécution en passant par la gestion du budget et le contrôle. Les éléments essentiels de l’Integrated Marketing Management sont :
 Les opérations MarketingLes opérations marketing comprennent la planification, la gestion et le contrôle des activités et des ressources marketing, y compris les problématiques associées, la gestion des flux d‘activités et des projets et la gestion des supports marketing. 
 La Gestion de CampagneLa gestion de campagne intégrée, par exemple à travers de nombreuses options de segmentation et de design, d’implémentation ou d‘analyse de campagnes est importante pour des communications client axées sur les données et ciblées à travers tous les canaux. La solution de Gestion de Campagne inclue les canaux traditionnels et les canaux digitaux comme les communications sur les terminaux mobiles ou les réseaux sociaux.
Souvenez-vous de toutes ces opportunités, pas seulement des défis à relever, qui viennent avec le mar-keting axé sur les données. Utiliser les données et optimiser les résultats des activités est un des plus grands défis pour les marketeurs en 2014 et au-delà. Teradata eCircle est là pour vous accompagner.

M-commerce : +25% de croissance chaque trimestre en France

A lire sur: http://frenchweb.fr/m-commerce-25-de-croissance-chaque-trimestre-en-france/135987

Par  | le 17 décembre 2013

Le commerce sur mobile ne cesse de croître. La France compterait désormais plus de 4 millions d’acheteurs sur mobile selon le dernier Baromètre du Marketing Mobile, réalisé avec comScore, GfK et Médiamétrie. « Les chiffres du marché français confirment la croissance exponentielle du M-Commerce, que l’on a vue récemment lors de Thanksgiving aux Etats-Unis, avec près de 20% des achats digitaux effectués sur smartphones et tablettes » précise Philippe Dumont, rapporteur de l’organisation
Envolée des ventes de terminaux mobiles
Premier facteur en cause, l’utilisation de plus en plus massive des terminaux mobiles, notamment les tablettes qui, avec un taux d’équipement des foyers en croissance de 127% sur un an – 3 millions au troisième trimestre 2012 contre 6,8 millions un an plus tard selon Gfk – bouleverse les habitudes. Au total, 1 million de ménages supplémentaires sont dotés d’une tablette chaque trimestre dans l’hexagone.
Vers une parité homme-femme
Les mobiles ne sont pas en reste avec les progressions des systèmes d’exploitation Android et Windows Phone. L’iOS d’Apple compte pour sa part 6 millions d’utilisateurs, un niveau stable. Le bilan pour 2013 porte à 15,2 millions et 6 millions le nombre de smartphones de tablettes vendus en 2013 pour « seulement » 4,2 millions d’ordinateurs portables.
Selon Médiamétrie, sur les 25,8 millions de mobinautes, les acheteurs (55%) sont de plus en plus des acheteuses (45%) laissant apercevoir une tendance forte en matière de parité des usages.

Cloud computing timeline illustrates cloud's past, predicts its future

A lire sur: http://searchcloudcomputing.techtarget.com/feature/Cloud-computing-timeline-illustrates-clouds-past-predicts-its-future

Caitlin White, Site Editor

To understand where you're going, it always helps to look where you've come from. Cloud computing has come a long way since its inception, when Amazon was still only known for selling books and movies, Myspace was considered "cloud," and experts argued on the true definition of cloud computing -- though the latter can still be true. By delving into this cloud computing timeline, IT pros can learn from past ups and downs and have a clearer idea of where the cloud market is heading -- though, of course, there are always unforeseen hiccups that can alter its course, such as the PRISM scandal. This cloud retrospective aims to give a high-level view of cloud's history and question what that means beyond 2014.
cloud computing timeline

Cloud computing timeline references


Editorial credits
Writer: Caitlin White
Editor: Michelle Boisvert
UX/visual designer: Brian Linnehan
Copy editor: Francesca Sales
Producer: Lindsay Chase

Cloud computing experts forecast the market climate in 2014

A lire sur: http://searchcloudcomputing.techtarget.com/feature/Cloud-computing-experts-forecast-the-market-climate-in-2014

SearchCloudComputing.com Staff

Last year, our cloud computing experts predicted what would happen in 2013. Some of the things they got right -- like the continued dominance of Amazon Web Services (AWS), a more detailed conversation around Platform as a Service (PaaS), Google making a charge out of beta with Google Compute Engine and the continued importance of big data and mobile cloud services. Some other events could not have been predicted, such as the NSA's PRISM scandal. This year our experts look back on their predictions and answer the same three questions for 2014. Their answers showcase how much has changed in 2013 and where the cloud market still has to develop.
We asked our cloud computing experts these three questions:
1. What changes can we expect in the cloud computing market in 2014?
2. Which cloud vendors will be the big winners of 2014 -- and why?
3. What will be the hot technologies for 2014?
Here's what they predicted this time around about the cloud market forecast for 2014.
Mark Eisenberg

Mark Eisenberg

The fiasco with Healthcare.gov might spur a change in the conversation. It is more likely that the enterprise cloud story will continue forward on the Infrastructure as a Service (IaaS) path and more CIOs will begin to question the total cost of ownership (TCO) of the approach. Outside of IT, Software as a Service (SaaS) has become a fact of life, and enterprises are comfortable with the change in the software acquisition model. The late-moving vendors are going to be scrambling to adjust. The days of 'cloud washing' are behind us.
AWS has become the iPhone of the cloud space, and the Androids of cloud are in their early stages. For 2014, the battle for second place will be where the action is, and we have a new contender with IBM finally in the game. ProfitBricks has an interesting play if the company stops trying to compete with AWS head-to-head. Microsoft has amply demonstrated that it is a losing approach.
Workday and Cornerstone OnDemand will continue to advance their success; they are solutions to real problems and their legacy competitors still don't have a credible response. Salesforce.com is still looking for its second act but will continue to consume market share from the legacy vendors.
Hot technologies will be:
  • Anything that can keep the NSA away from data hosted on public cloud services.
  • Digital currencies and the methods to exchange them and the impending global currency war will spur great interest in non-fiat currency.
  • Another good year for big data. But a lot of interesting things happened in 2013, just not where anyone expected them.
Roger Jennings

Roger Jennings

The coming year promises to be another substantial growth year for PaaS, with the technology more than tripling worldwide revenuesfrom about $4 billion in 2013 to $15 billion in 2017, according to IDC. Value will migrate from Infrastructure as a Service (IaaS) to Platform as a Service -- and from generic PaaS to data-optimized PaaS.  
Over the 2013 to 2017 forecast period, public IT cloud services will have a compound annual growth rate [CAGR] of 23.5%, five times that of the IT industry as a whole, IDC said, and PaaS will lead IaaS and SaaS with a CAGR of 29.7%. By 2017, the top six PaaS platforms will host more than 80% of new cloud apps, which is why much of the $30 billion of that year's SaaS revenue will accrue to those six players.
Windows Azure gained developer mindshare in 2013 by applying Rapid Application Development (RAD) techniques to provision innovative PaaS features that Amazon Web Services (AWS) doesn't offer. Microsoft vice president Scott Guthrie has spearheaded Windows Azure upgrades on six-week intervals, the latest of which added Azure-hosted Visual Studio Online for building apps and managing their lifecycles in the cloud. Google is "waking up" by finally making the Google Compute Engine (GCE) generally available in December 2013, analysts added. Enabling Google's graphical Cloud9 IDE in early 2014 might fill GCE's current lack of online cloud app development capabilities.
Data-optimized PaaS, typified by the HDInsight Service for Windows Azure Apache Hadoop implementation and easy-to-implement database backends for popular mobile operating systems provided by Azure's Mobile Services will maintain Microsoft's status in 2014 and beyond as the No. 2 public cloud provider behind AWS.
Paul Korzeniowski

Paul Korzeniowski

The market is entering a new phase, a more mature one, one where more discipline will be added to cloud purchase. Corporations will take a closer look at private and public cloud services from a business perspective. Companies will try to determine if the public cloud deals they signed have hidden costs or make economic sense. Upon closer inspection, businesses may find that public cloud services may have some hidden fees, so private cloud will become more of an option for SMBs.
As the market matures, the biggest players benefit. Mergers andacquisitions will be a key theme. Established players (IBM, Microsoft, Oracle) will fill voids in their cloud service lines by acquisition. Start-ups will have burned through the venture capital handed out a few years ago. There will be a great deal of shifting in the marketplace.
Security will continue to be an area of emphasis. Personal cloud (rogue cloud) will continue to haunt IT. To improve productivity, employees will store company data on public cloud services, such as Dropbox. IT will need to ensure that the data is used properly without having much visibility into which employees are manipulating such data. More tools will emerge to help with that process.
David S. Linthicum

David S. Linthicum

The market will begin to focus more on applications in the cloud rather than infrastructure. This means the migration of enterprise applications as well as new development.  
Thus, both the PaaS and IaaS spaces will continue to expand to support this focus on cloud-based applications, as well as processes and tools to support this migration. In most instances, these applications will operate within multi-cloud environments, which will be a mix of private clouds and public cloud providers.
AWS will continue to gather more steam and will be the largest winner in the market by far. Microsoft and Google will continue to see good growth but will still remain well behind AWS. The focus will certainly be on public cloud providers, more so than private cloud providers, in 2014.
Other winners will include most cloud management platform players, including ServiceMesh (now with CSC) and RightScale. There will be a focus on identity-based security, with players such as Ping gathering up some more market share in 2014.
Cloud management platforms will continue to dominate as the hot technologies as most enterprises move to complex multi-cloud deployments.
Cloud performance management technology will come into focus as enterprises understand that they will get big cloud bills and need to monitor and manage performance of these clouds to find the value.
Cloud financial systems will become more relevant. They include systems that monitor clouds for use-based accounting, financial projections and so on. It becomes important as we learn to live with clouds, and thus need to monitor and allocate costs within the enterprise.
Tom Nolle

Tom Nolle

The year 2014 will be when we move beyond simple PaaS to "platform services." 
In PaaS, users are locked into a specific operating system and middleware combination, but they do get more from the cloud. Platform services take features like caching, Web page optimization, cloud database and management and make them into URLs, into Web services that can be easily linked with any application.
Platform services will, in 2014, add value to IaaS to enhance both the providers' profits and the users' benefit cases. They'll evolve over time into creating a whole new notion of a cloud platform, a notion that's less dependent on what used to be "system software" and more dependent on composing features that were designed for the cloud and optimally exploit the cloud's value. That won't make 2014 the year when the cloud becomes mainstream, but it will define what mainstream will mean as we evolve toward a cloud-centric applications future.
Dan Sullivan

Dan Sullivan

Amazon dominated the cloud news in 2013, but 2014 will be a good year for Microsoft and Google. Microsoft is paving the way forhybrid clouds with Windows Server 2012 R2 and Windows Azure Pack. By the end of 2014, we should have a better understanding of good practices for managing workloads across hybrid Azure clouds. Google's announcement of general availability of Google Compute Engine will turn out to be the first in a string of announcements demonstrating Google's commitment to enterprise computing. Unlike Amazon's approach of offering a wide range of services, Google will be recognized as a high-performance, reliable, low-cost cloud provider. Google could become the go-to IaaS for high-performance computing, but scientific and financial applications that take advantage of graphics processing units will stick with Amazon.
Mobile application developers will be the drivers behind increased PaaS adoption. Mobile applications commonly require support for push notifications, geolocation services and other platform-specific functions. There is little competitive advantage implementing these features, so developers will gladly off-load these functions to Mobile Backend as a Service(mBaaS) providers.
Cost controls will get more attention. Managers like predictability, and that can be hard to find in the IaaS market where customers pay for what they use and providers charge for as many quantifiable services as possible. Use of cost management services from Cloudyn,Cloud CruiserCloudability and CloudCheckr will grow as managers learn how to manage costs without adversely impacting developers.
Mark Szynaka

Mark Szynaka

In 2014, the enterprise will actually engage the cloud delivery model starting with private cloud. After watching from the sidelines as the SaaS startups have performed much of the testing and rollouts using a greenfield build out in a public cloud, the enterprise CTOs are being pressed to engage. I predict that many of the large enterprises will start with an OpenStack design for their private cloud to help them control the design and buy them time to better understand the technology. Many of these enterprise CFOs will get sticker shock in the fall of 2014 as they begin to understand that OpenStack is taking them down the road of loading up on programmers and owning more of the infrastructure support than they were led to believe. Citrix may turn out to be the unintended winner to fulfill the open source requirements while keeping the familiar 'one throat to choke' vendor relationship.
The public cloud will continue to see AWS maintain market share lead because of the myriad PaaS offerings, continued growth in the marketplace and AWS partner network. The main business drivers for adoption of the public cloud will be similar to 2013 -- BI, collaborative efficiencies -- but in 2014 we will see the CFO and business units put more pressure on central IT departments to lead, follow or get out of the way. CFOs and departmental management will look to cloud service brokers to advise them in the case where central IT is following or getting out of the way.

En 2014, les entreprises devront dépasser le Hype Big Data

A lire sur: http://www.lemagit.fr/actualites/2240212053/En-2014-les-entreprises-devront-depasser-le-Hype-Big-Data

Cyrille ChaussonPublié: 06 janv. 2014

Il existe actuellement beaucoup de bruit autour de l’analytique et du Big Data, mais il est peu probable que toutes ces nouvelles technologies o pour analyser les données aboutissent véritablement un jour. D’ailleurs parvenir à différencier les tendances qui aboutiront de celles qui s’éteindront d’elles-mêmes pourrait bien être la clé de la réussite pour 2014 lorsqu’on aborde ces deux technologies.
L’une de ces tendances les plus à la mode (ou « hype » comme l'indique Gartner), dont le développement a débuté en 2013 est celle  des applications qui permettent d’exécuter des requêtes SQL sur des systèmes Hadoop. Plusieurs éditeurs ont adopté cette stratégie comme Cloudera avec Impala, Pivotal avec HAWQ et Splunk avec Hunk et les professionnels du monde de l’analytique ont montré un certain intérêt. Toutefois, indique Merv Adrian, analyste chez Gartner, ce type d’applications pourrait frustrer de nombreuses entreprises en 2014.
Selon lui, les applications « SQL-on-Hadoop » ont certes la capacité à tenir leurs promesses, mais globalement le concept est trop novateur pour avoir un véritable impact. Et surtout, de nombreuses applications seront confrontées à des problèmes de performances. Des problèmes qui pourraient provoquer un rejet de la part des utilisateurs avant la fin de l’année. D’une façon générale, ces outils sont nouveaux, immatures, et il est probable qu’ils déçoivent les utilisateurs lorsque leurs limites auront été comprises », résume-t-il.
Le problème de base est que l'effet de mode a dépassé la réalité. Les outils de type SQL-on-Hadoop ont certes un rôle à jouer, mais il pourrait bien être plus limité que celui envisagé par les entreprises. Le buzz autour de Hadoop est très important, et de nombreux utilisateurs inexpérimentés pensent pouvoir tout faire avec le framework. Il suffit d’intégrer une technologie performante, familière auprès des professionnels de l’analytique à SQL pour que cela provoque inévitablement un important buzz. Adrian soutient  que les utilisateurs devront alors avoir une compréhension plus globale et réaliste des limites de ces outils, et ce dans l’année.
Pas de pertinence pour l’analytique dans l’Internet des objets
Autre tendance technologique susceptible de décevoir les professionnels de l’analytique en 2014, l’Internet des objets. Ce concept, qui correspond principalement à la connexion d’appliances, comme les équipements de production ou les compteurs, à Internet, n’est pas associé avec le monde de l’analytique  et de la Business Intelligence. Cela représente pourtant un vrai potentiel en matière de données,susceptible d'alimenter des modèles analytiques et améliorer ainsi les capacités de reporting des entreprises concernées.
Pourtant, William McKnight, de chez McKnight Consulting Group reste pessimiste sur le potentiel BI de l’Internet des objets. Il ne remet pas en cause le fait que relier les systèmes domestiques, les terminaux de navigation et les équipements de production à Internet générera une richesse évidente en termes de données. Mais relier toutes ces données entre elles est un autre débat. « Connecter les objets entre eux et donner du sens à ces imbrications avec de la BI, qui nécessite une planification descendante, sera un des thèmes des années futures », assure-t-il.
Décortiquer le hype « Big Data »
Sans aucun doute, aucune autre tendance dans le monde analytique n’a été plus à la mode en 2013 que le Big Data. Mais l’intérêt qui est porté à ce concept est aussi source de polémique. Le "hype" autour du Big Data serait entretenu par les médias et le marketinf des constructeur même si pour certains il est aussi l'illustration de la puissance derrière le concept.
Pour Tony Cosentino, analyste chez Ventana Research, tout dépend de la façon dont on l’utilise. Selon les études de son cabinet, l’intérêt dans les systèmes Big Data continue de grandir chez de nombreuses entreprises. Toutefois, le potentiel offert par la technologie a dépassé les structures de gouvernance et les employés ne sont pas toujours préparés à insérer le Big Data dans leurs activités quotidiennes. Le Big Data pourrait potentiellement avoir un impact important, mais seulement si les bons processus sont mis en place.
« Le Big Data a tout du terme très à la mode, mais les entreprises en 2014 ont la possibilité de minimiser les risques et de créer de la valeur en alignant mieux les processus et leurs effectifs sur de nouvelles sources d’information et des technologies innovantes déjà disponibles sur le marché, affirme-t-il.
Que le Big Data soit ou pas une tendance hype reste encore de la responsabilité des utilisateurs, ajoute Tony Cosentino. La technologie a montré son potentiel. Mais elle devra être utilisée à bon escient pour survivre à 2014.

Gartner prévoit un rebond de la croissance des dépenses IT en 2014

A lire sur: http://www.lemagit.fr/actualites/2240212014/Gartner-prevoit-un-rebond-de-la-croissance-des-depenses-IT-en-2014

Christophe BardyPublié: 06 janv. 2014

Selon Gartner, l’année 2014 devrait voir les dépenses informatiques progresser de 3,1% dans le monde pour atteindre $3,77 billions de dollars (3 777 milliards de dollars), un vrai retour à la croissance après une pâle progression de 0,4% en 2013.
Gartner : La dépense IT en 2014
Gartner : La dépense IT en 2014
L’année 2014 devrait notamment être marquée par un retour à la croissance du marché des terminaux avec une hausse prévue de 4,3% des ventes de PC, portables, téléphones mobiles et tablettes (contre un recul de -1,2% en 2013) et ce malgré une intensification de la guerre des prix. Au total, les constructeurs devraient vendre pour près de environ 697 Md$ d’équipements terminaux en 2014.
Côté systèmes pour datacenters, la reprise devrait être à l’ordre du jour avec des dépenses estimées à 143 Md$ en 2014, en hausse de 2,6% (après un recul de 0,3% en 2013). Les dépenses des entreprises en logiciels devraient bondir de 6,8% pour atteindre 320 Md$, avec notamment de fortes progressions prévues pour les marchés du CRM (en particulier les applications de marketing) et de la gestion de la chaîne logistique (avec de nouveaux investissements sur les outils analytiques dans le domaine du SCM).
Le marché des services IT devrait quant à lui reprendre des couleurs avec une progression estimée à 4,5% sur l’année après un maigre 1,8% en 2013. Selon Gartner, les SSII (pardon les ESN) mondiales devraient engranger un chiffre d’affaires de 963 Md$ cette année. Même les services télécoms devraient renouer avec la croissance : après un recul de 0,5% en 2013, ils devraient progresser de 1,2% en 2014 pour atteindre 1 653 Md$.

Après les chaussures, les chaussettes connectées !

A lire sur: http://www.gizmodo.fr/2014/01/07/apres-chaussures-chaussettes-connectees.html


Vous pensiez (déjà) avoir tout vu en matière de vêtement connecté ? Si lesoutien-gorge intelligent vous avez laissé dubitatif, voici venues leschaussettes connectées ! On doit cette innovation au spécialiste Heapsylon. Celui-ci vient d’ailleurs de nouer un partenariat avec le fabricant de chaussure anglais Vivobarefoot pour les promouvoir.
Les chaussures connectées peuvent s’avérer fort utiles pour les sportifs à la recherche d’optimisations et de gains de performances. Vivobarefoot propose des chaussures pour la vie quotidienne mais aussi et surtout pour la course, sur route ou non. Heapsylon pourra donc proposer aux coureurs ses Sensoria Shoes pour aller encore plus loin dans l’analyse.
Pour 200$ (150€), vous aurez droit à quatre paires de chaussettes et un bracelet de cheville – comptez 59$ (43€) les trois paires additionnelles et 29$ (21€) l’une -, le tout permettant d’obtenir via l’application dédiée – iOS, Android et Windows Phone 8 – des informations très précises sur le placement de vos pieds, les points de pression, de température, de friction… Parfait pour les sportifs qui cherche à parfaire leurs mouvements.
Les précommandes sont d’ores-et-déjà ouvertes, les livraisons débuteront en Mars.

Les futurs écrans seront antibactériens…

A lire sur: http://www.gizmodo.fr/2014/01/06/ecrans-antibacteriens.html

… Et ce n’est pas un luxe. Nos écrans de smartphones sont tout simplement dégoûtants, de véritables nids à microbes. Heureusement, nous pouvons compter sur Corning, qui annonce que son écran GorillaGlass anti bactérien est prêt à être livré.
La société, dont les écrans ornent de nombreux smartphones dans le monde, a révélé qu’elle développait un verre anti bactérien depuis l’année dernière. C’est donc à l’occasion du CES 2014 que Corning présente officiellement ce produit à l’utilité évidente.
A force de tripoter nos téléphones, c’est un véritable bouillon de culture qui vit sur la surface vitrée, aussi la dernière technologie développée par Corning va inhiber la croissance des algues, moisissures, champignons et bactéries. Tout un programme.
Le secret vient de l’argent ionique, placé méthodiquement afin de ne pas gêner la vue ou encore nuire à la solidité. Il ne restera plus qu’à implémenter cet écran dans les futurs téléphones qui seront donc un peu plus propres !
Concernant la durée de vie du traitement, Corning explique que ses propriétés antimicrobiennes resteront en vigueur pour le cycle de vie d’un appareil, ce qui est un peu vague…